Voici un épisode plein d’étrangetés, d’expériences narratives, mais aussi de bon gros classiques à la papa.
On trouve vraiment de tout en Bande Dessinée !
Qui c’est qui doit encore improviser un texte pour dire qu’on fait une super émission sur la BD, avec plein de conseils super bien ?
Surtout que je suis sûr que personne ne lit jamais ce texte.
Sauf les gens qui nous mettent 5 étoiles sur leur appli de podcast en plaçant le mot « Ragondin » dans le commentaire.
Et il n’y en a pas des masses !
De l’impro, des hésitations, de l’à peu près, de la mauvaise foi… mais aussi du suspens, de l’aventure, des mystères et de l’action !
Bienvenue au One Eye Club.
C’est pas facile d’être un tome un.
Ah ça, c’est facile la vie de One Shot : on a un début, une fin, et on sait tout de suite si on est classé en One Shit ou en One Hot.
Mais quand on démarre une série, on doit en balancer un maximum, sans trop en dire pour appâter le chaland, et lui donner envie d’acheter la suite.
Dans cet épisode, même les bons tome un prennent chers.
C’est pas facile d’être un tome un.