Cette planche vous est offerte par l’excellentissime Yann Le Borgne !
« Vous faites pas un peu les crevards, là ? »
Faire un podcast ça demande beaucoup de temps, et un peu de sous. Et c’est sujet à un des paradoxes du web : plus ça marche, plus ça coûte.
Rassurez-vous le One Eye Club continuera même sans votre soutien. On peut très bien enregistrer avec nos téléphones des chroniques sur nos vieilles BDs et héberger le tout chez free. Votre aide nous permet simplement d’enregistrer dans des conditions confortables, et de vous assurer une qualité correcte.
Le meilleur moyen de nous soutenir reste de parler de nous, et de laisser des commentaires sur le blog et sur iTunes.
« Comment on peut vous aider ? »
Vous avez le choix :
- Le lien affilié : quasiment toutes les couvertures de BDs présentes sur le site sont des liens affiliés à amazon. Vous cliquez dessus, et on récupère environ 5% de tout ce que vous achetez durant votre session.
- La boutique : elle n’est pas encore super jolie, il n’y a pas beaucoup de choix, mais on y travaille. Un jour il y aura plein de chouettes t-shirts chers et de magnifiques goodies dispendieux. Un jour.
- Le don : vous préférez donner vos sous à votre libraire plutôt qu’à amazon, vous trouvez nos goodies moches et hors de prix, et vous voulez quand même nous donnez des sous ? Un petit passage par paypal, et c’est réglé !
« Mais vous voulez en faire quoi de nos sous ? »
On n’est vraiment pas à cours d’idées. Mais rassurez-vous, elles sont toutes en rapport avec le podcast :
- Partir en reportage : on adorerais couvrir un maximum d’événements BD, mais entre le transport et le logement, ce n’est pas toujours facile.
- Faire de la com : imprimer des stickers, des posters, des cartes de visite, s’offrir un stand sur un salon, … En bref, faire parler de nous !
- Payer notre hébergeur : nous avons de plus en plus d’épisodes en stock, vous êtes de plus en plus nombreux à nous écouter, et un jour ça va nous coûter cher.
- Améliorer notre matériel : en partie grâce à vous, nous avons enfin notre propre matos. Mais il faut toujours acheter pleins de câbles, et pourquoi pas de quoi accueillir plus de monde autour de notre table.
- Acheter des BDs : même si de plus en plus d’éditeurs nous font confiance en nous proposant des Services de Presse, nous devons encore acheter la plupart des BDs que nous chroniquons avec nos sous. Et puis on aime bien notre libraire.
Alors à vot’ bon cœur m’sieur dame !
C’est peu, mais dorénavant je passerai par chez vous pour faire mes commandes Amazon… Pour l’instant je ne peux faire plus. Mais bonne chance tout de même…
Cela dit, j’aimerai bien entendre une émission enregistrée sur portable avec que des vieilles BDs dedans… un jolie hors série 🙂
Merci à toi !
Hum, pour les vieilles BDs pourquoi pas, par contre pour le son pourri je vais essayer de vous épargner ça 😉
Amazon, j’achète… pas souvent mais de temps en temps, de tout sauf des BD (j’ai toujours préféré un bon libraire). Je savais pas que le % fonctionnait même sur les frigos. J’y penserai !
Tu as bien raison : le vrai libraire est toujours mieux (même si tous ne sont pas bons), mais amazon dépanne bien quand on vit dans un bled paumé. Ou pour acheter un frigo 🙂
Merci de ton soutien !
Je vis dans un bled paumé (du moins l’hiver), mais je travaille dans une grande ville, donc ça va 🙂
Le « magasin » de BD le plus proche de chez moi c’est un Virgin (ça ou amazon…) avec des vendeurs super compétents et sympas.
J’y vais parfois en dépannage, mais je préfère faire 30 minutes de trajet pour aller chez un libraire BD indépendant qui me connait bien 😉
Virgin embauche de vrais libraires de formation, c’est déjà ça…
Moi aussi, je suis dans un village paumé, et pas que l’hiver. Donc amazon, c’est au moins 70% de mes achats BD. Mon ancien et super libraire est a 75 km maintenant, c’est un peu loin pour aller acheter des bouquins. Mais sur Metz, soit a 40 bornes de chez moi, il y a de quoi faire, j’y vais une fois par moi. Il y a aussi mon disquaire la-bas. Donc je fait d’une pierre deux coups!