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Grock’n Roll Festival In Aiacciu

‘tain, ça c’est un titre qui pète.

Qui pète comme le formidable concert qu’organise Ghostone, le nouveau groupe de mon frangin.

Ca va être du gros rock, c’est le 26 aout au Casone à Ajaccio, et pour 5 euros et une conso vous pourrez voir 4 groupes corses pas polyphonique.

Je n’y serais malheureusement pas, car l’organisation éclair de l’évènement à eu lieu alors que mes billets non échangeable était déjà acheté.

Je me console en allant voir le superbe site de Ghostone, concocté par Le Schti.

C’est sur www.ghostone.net, et c’est bon.

Scriptologie

Un de mes joueurs m’a récemment fait une remarque qui m’a à la fois irrité et fait sourir. Il a simplement déclarer que lorsqu’il ramait dans un scénario, il attendait un "évènement scripté" qui relancerait l’action.

Aaaargh, encore un parallèle avec le jeux vidéos. A la longue c’est énervant, mais je dois avouer que la remarque du joueur n’était pas fausse.

Pour les novices en la matière, un évènement scripté peut se définir ainsi : c’est un évènement qui n’interviendra que lorsque certaines conditions seront remplies. Celles-ci peuvent être temporelles, spaciales, sociales, où de n’importe quel type qui vous conviendra. En jeux vidéo, cela se résume souvent à un "dès que le personnage passe la porte le monstre arrive et attaque". Le monstre n’aurait pas eu l’idée de franchir tout seul la porte, genre pour aller soulager sa vessie, ou prendre un gigot d’aventurier dans le frigo. Non. Il attendait que le personnage passe la porte pour agir.
Les évènements scriptés sont encore nombreux en jeux vidéo, mais ont tendance à disparaitre grâce à l’amélioration des Intelligences Artificielles (qui ne sont en fin de compte qu’une grande série d’évènements scriptés, prenant plein de critère en compte).

Mais en jeux de rôle, le MJ peut improviser à chaque instant, alors pourquoi s’embêter avec des éléments scriptés ?

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Jouer comme à la télé

J’aime beaucoup le travail de Brand, et quelque part, je le considèrerais presque comme le modèle de mes ambitions intello-théorico-rolistes.

Sauf que là, ça peut pas continuer.

Récemment, je me demandais de quelle façon il serait possible de structurer une campagne de jdr comme une saison de série télé. C’est plutôt à la mode, Cops ayant adopté le terme officiel de "saisons" pour décrire une suite de suppléments liés, et les séries télé étant de plus en plus imaginatives et intéressantes.

Et voila ti pas que ce saligot de Brand reprend un des axes de ma réflexion ! Bon, il est pas dans mon cerveaux (l’heureux homme !), il savait sûrement pas.

Je vais donc essayer de compléter ses propos, et de proposer une solution technique à tout ce fatras théorique.

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Michel Poubelle

6 Juin 2006 – 06/06/06 – 666

Le chiffre de la bête, le retour de Satan sur terre. Est ce un signe ?

Quoi qu’il en soit je connais deux gémeaux dont c’est aujourd’hui l’avènement, et pas des moindres.

D’abord, la talentueuse Lotte dont j’apprécis le dessin fin et racé, ainsi que l’humour et la légèreté.

Ensuite, Last But not Least, Michel, mon petit frêre en exil sur les tristes îles Canaries, à qui j’ai décidé de consacrer enfin l’article qu’il méritait sur mon site.

C’est là !

Pas Vu, Mais Nul

Il y a de cela quelques années, j’avais pour un fanzine un projet de rubrique qui rebondissait sur une actualité bouillante. Patrice Leconte reprochait aux critiques, et particulièrement à ceux de Télérama, de faire preuve de snobisme intellectuel en assassinant tous les films qu’ils avaient à commenter. Il me semble qu’il y a eu quelques progrès depuis, les critiques acceptant enfin qu’un bon divertissement ne soit pas corrélairement un film de merde, vu qu’il touchait son public. C’est vrai ça, pourquoi les plus grosse bouses font elles le plus d’entrés ? Peut être parce que les critiques sont bien loin des préoccupation de la France d’en bas ?

Voici donc une critique pleine de mauvaise fois sur un film que je n’avais pas encore vu, et dont je ne savait pas grand chose. Certes, je partait avec un a priori très positif, vu que j’adore Tim Burton, et que j’aime beaucoup Johnny Depp.

Allez, cliquez pour lire la suite…

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